Les remarques du Président, qui semblent être enracinées dans un populisme extrémiste et manipulateur, ont suggéré que deux millions de migrants africains vivaient en Tunisie - un chiffre qui est grossièrement exagéré.
Ces propos ont été perçus comme une attaque directe contre le peuple tunisien et d'autres pays africains, et même comme une insulte à leur histoire, car beaucoup ont connu le racisme, l'esclavage et l'apartheid pendant des siècles.
En réponse, le président du Mouvement panafricain des citoyens a demandé des excuses au président tunisien, car de tels commentaires violent les valeurs de l'Union africaine qui interdisent les sentiments racistes à l'égard des Africains. Il demande au président de reconnaître son erreur et de faire preuve de solidarité avec ses frères et sœurs africains en présentant des excuses.