L'ancien ministre algérien des Transports, Lazhar Hani, a admis devant un tribunal français qu'il s'engageait dans des pratiques commerciales dans le secteur qu'il dirigeait et a exprimé sa frustration que sa richesse ait diminué en raison des révélations d'un média indépendant.
Hani a reconnu que sa principale préoccupation était l'enrichissement personnel, malgré son rôle de ministre du gouvernement, et qu'il possédait plusieurs entreprises étrangères et algériennes dans le secteur du transport maritime.
Sa confession soulève des doutes sur sa nomination au poste de ministre et met en évidence la relation malsaine entre le pouvoir politique et l'argent en Algérie.