CONTAINER DE PENSÉES A DÉDOUANER SANS TRI, AVEC LE SOURIRE

Publié le 12/10/2022
Amadou Lamine Sall


Un Peuple, un But, de l’Amour !

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« L’écriture est un prolongement du devoir. »

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« Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. »

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« En vérité, n’existe pas celui qui ne croit pas en Dieu. N’existe que des mortels mal élevés ! » Al Makhtoum.


Le problème de la chose est dans la chose

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Le prince, les ministres, les représentants du peuple sont payés, logés, indemnisés, véhiculés avec nombre de privilèges additionnels alors que le peuple n’est ni payé, ni logé, ni véhiculé ! Comment appeler, définir et corriger cette norme établie en système si inégal ? Est-elle juste, équitable, normal, moral, éthique ? Ce n’est qu’un constat à tort ou à raison ! Ce n’est qu’une question !

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À cinq ans, on est plus enfant, on grandit très vite, on devient même vite adulte quand c’est la rue qui vous accueille et qui est votre seul abri ! Sauvons les enfants de la rue.

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Il nous faut armer la démocratie. Elle doit vaincre et non être vaincue.

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Personne n’entre en politique pour en sortir indemne. Personne.

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Il y a 60-70 ans, certains d’entre nous apprenaient leurs leçons sous les lampadaires, la nuit. Kéba Mbaye, l’icône et la merveille des plus hauts juges, était de ceux-là. Il le raconte lui-même. Écoutez Senghor racontant son arrivée à Dakar, après le bac, et la fascination des lumières sur le jeune Sérère découvrant pour la première fois une grande ville.  En 2022, d’autres apprennent leurs leçons sous la lumière de leur téléphone portable et de ce qui leur reste de batterie. Ainsi va la vie. Les inégalités datent de la création du monde. Elles dureront encore longtemps. Elles n’ont pas empêché de plus démunis de devenir les plus grands en laissant leur nom à l’histoire.

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« L’absence de préjugés est une vertu… »

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« …la clarté imperturbable de la vérité, c’est la mort elle-même. »

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Les loups, les lions, chassent pour se nourrir et nourrir leurs petits. L’homme aussi « chasse » pour se nourrir et nourrir sa famille. Sauf que le loup comme le lion tuent. Ils ne sont encombrés ni par la morale, ni par l’éthique, ni par la raison et l’esprit de civilité. Ce sont des bêtes. L’homme n’en est plus loin. Il peut arriver même qu’il soit plus cruel que la bête.

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Ceux qui pensent et croient pouvoir faire du Sénégal un dépotoir d’une jeunesse perverse et inculte, se trompent. Le Sénégal n’est pas ce dépotoir et ne saurait lui ressembler. Ce pays ennoblit tous ceux qui l’habitent, même contre eux-mêmes. Mais jusqu’à quand ? Jusqu’à quand ?

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Une jeunesse crevassée, cabossée, crevée, pierreuse, l’esprit famélique, rabougri, une jeunesse punie par l’inculture, débile, arrogante, tragique, arquée, aride, répulsive, sèche, agressive, violente, aveugle, injurieuse, pressée, affamée, se proclamant procureur et juge, gardien de prison et Régisseur ? Est-ce bien cette jeunesse-là dont on prédit que le Sénégal est déjà habité, déjà pris en otage ? Non ! Pas si vite ! Nuançons ! Il est des jeunes dans ce pays qui sont un pur bonheur et « dont j’espère que la voix croîtra, quand la clameur décroîtra », comme l’aurait écrit notre défunt frère Hamidou Dia qui nous manque tant !

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Entre le pouvoir et l’opposition -les deux sont le symbole de la démocratie - nous choisissons les deux.  Si nous nous amusions à choisir l’un ou l’autre, cela ressemblerait aux deux prières frontales que voici : «  Que Dieu me donne un troupeau de moutons pour que je me nourrisse de leur lait »- et l’autre de répondre : « Que Dieu me donne un troupeau de loups pour les manger !»  Comment réconcilier ces deux rivaux ? Notre devoir et notre responsabilité sont de les réconcilier.

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Il y a ceux qui ont le pouvoir de choisir de respirer le lundi et de s’astreindre de respirer le mardi, comme pour reposer leur organisme, car le Seigneur dans Ses mystères leur a donné ce pouvoir et cette capacité physique hors de l’humaine condition. Et tous les autres qui ne peuvent retenir leur respiration plus d’une minute, si ce n’est déjà trop ?  Ainsi va le partage divin. Lui Seul sait pourquoi Il donne différemment Ses Grâces !

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Les uns comme les autres n’habitent pas les mêmes livres. Voilà comment les femmes et hommes de médiation sont plus dotés, plus reposés que les belligérants venus discuter, l’oreille bandée, l’œil sanglant, le cœur encombré, l’âme frénétique et belliqueuse. Acceptons de nous apaiser, de nous parler ! Élevons-nous !


Dans ce pays les juges sont affaiblis s’ils ne sont pas tout simplement humiliés, disqualifiés. Les lois sont bravées. Veillons à ce qu’elles ne s’affaissent. Un pays ne peut que s’agenouiller dans un tel contexte où la seule devise qui prévaut par et d’autre est : « Aimez-moi les uns les autres où je vous bannis de ma cité ! »

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Notre seul et unique obstacle ? Nous-mêmes les Sénégalais et ce que nous sommes en train de devenir !

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« La différence entre trahison et patriotisme n'est qu'une question de date. »

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Toute œuvre d'art et de mémoire est l'accomplissement d'une prophétie. Tel est le Mémorial de Gorée dont le Président Sall a dit ceci de prophétique également : « Il ne pouvait pas se construire. Il m’attendait. » Construit ou abandonné, la prophétie ne mourra pas.

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Chaque Sénégalaise, chaque Sénégalais, pris individuellement, a sans doute dans son cœur le visage d’un compatriote qu’elle ou qu’il souhaiterait voir un jour comme président de la République du Sénégal. J’avais rêvé et voulu, pour ma part, que ce fut un jour le juge Kéba Mbaye. Parce qu’il était irréel et si brillant ! Puissent l’histoire et la marche de notre cher pays nous donner demain des femmes et des hommes qui nous élèvent et nous grandissent ainsi que leur continent ! Les meilleurs auraient du mal à se trouver dans l’arène politique, pense-t-on, pour ce que celle-ci donne de nauséabond à voir. Mais il ne faut pas désespérer. L’avenir est déjà à notre porte. Puisse-t-il nous combler en nous donnant le meilleur des Présidents.

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Choisir et nommer un Premier ministre est toujours, au commencement d’une accession au pouvoir, une démarche de déclaration d’amour et d’un désir de fusion. Il en est tout autrement quand l’eau a coulé sous les ponts et qu’il faille, de nouveau, choisir un PM dans une période de tourmente, de lassitude, d’incertitude, de tension, de doute, de lutte contre soi-même sur les chemins de la vérité finale et de la quête du meilleur des choix. La raison, quant à elle, cohabite toujours mal avec le nectar du pouvoir ! Mais il arrive que ce dernier ne vainque pas. Avec le temps, choisir de nouveau un PM n’est plus pour un Président une déclaration d’amour, un désir de fusion, mais une bouée jetée à la mer, une prière d’espérance, un vœu de réussite. L’héritage devenu proche fait forcément face aux pièges de la division et de l’activisme. Je me souviens de l’implacable tranquillité de Senghor choisissant Abdou Diouf alors que ses plus proches et ses plus intimes étaient largués. Il sera son seul PM jusqu’à sa légendaire démission au poste de président de la République. Mais la suite a laissé des marques ! Pour Macky Sall qui a notre affection, le reste appartient à Dieu, si on veut bien se souvenir de Lui. La Partition du Seigneur en a toujours surpris et étonné plus d’un !

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Ne serait-il pas temps pour certains DG ou plus juteux encore pour certains patrons d’Agence d’État, d’éteindre leur cigare ? Même Macky Sall ne fume pas de cette marque là et encore en public !

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Ceux qui nous épouvantent, car ils ne mettent aucun autre pouvoir au-dessus de la politique ! Jusqu’au jour où ils rentrent à la maison pieds nus !

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La beauté d’une ville dépend du génie des architectes… et Dakar n’est pas beau !

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La conquête du pouvoir n’est pas la gestion du pouvoir !

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Quand vous proposez le mot « émeraude » au Président Macky Sall, il vous demande de le remplacer par « rubis », car sa « couleur évoque le feu et cette gemme symbolise le courage, la bravoure ou l'amour divin ». Ceci est écrit dans mon carnet de proximité avec le PR et le PM Boune Abdallah Dionne qui gardera pour toujours ma profonde affection.

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Nous devons apprendre désormais à résoudre nos problèmes qu’à poser des problèmes. S’il existait un essentiel incontournable qui n’a pas été réalisé depuis Senghor et que Macky a également omis de réaliser - sauf l’obligation des mathématiques, du latin et du grec, les trois vont ensemble- réalisons-le ! Nous réussirons plus vite à réaliser ce qui nous manque et au bénéfice de tous, si nous sommes ensemble, tolérants et différents !

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Ce n’est pas vrai qu’un président de la République sait tout, voit tout, entend tout, pas plus qu’il ne peut tout résoudre. Être le mieux informé ne veut pas dire que l’on est informé de tout. La surprise vient toujours de là ! Il n’existe pas un palais mieux informé que la rue !

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Toujours être souriant, par politesse, alors que l’on boue de l’intérieur, que l’on fulmine de l’intérieur, que l’on crame à l’intérieur de soi-même ! Toujours garder le sourire face à la vertigineuse inculture, face à la religieuse fausseté.

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« Il faut continuer de croire qu’il fera beau, même quand il pleut »

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Toutes les routes s’arrêtent au Palais pour ceux qui courent derrière le pouvoir suprême ! Après et à la fin, et c’est inéluctable, soit on revient sur ses pas pour rentrer à la maison ou en prison ou au cimetière, soit on saute de la falaise et nul ne sait où conduit la mer ou la rivière…noyade, exil, oubli ? Mais on ne revient plus. On ne revient jamais. Voilà résumé le destin connu des princes qui ont fermé les livres de la sagesse, oublié le chemin et le sermon des églises, des mosquées et le cadeau du Tout Puissant qui les avait conduits à être le berger de leur peuple.

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Le 3ème mandat ? C’est comme la traversée de la rivière Mara au Kenya infestée de crocodiles !

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« L’écriture quand je ne lui donne pas ma main, je lui réserve toutes mes pensées, comme ce paysan qui au fond de son lit pense à ses bêtes, aux soins qu’il faudra leur donner. »

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  • "Le noir est une couleur, le nègre une culture. Il y a des nègres qui ne sont pas noirs. »

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« Ce qui s’enfuit du monde, c’est la poésie. La poésie n’est pas un genre littéraire, elle est l’expérience spirituelle de la vie, la plus haute densité de précision, l’intuition aveuglante que la vie la plus frêle est une vie sans fin. »

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« J’ai rêvé cette nuit que quelqu’un dont je ne voyais pas le visage me disait : « il n’y a pas d’autres preuves de l’existence de Dieu que les preuves poétiques.»

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Quand verrais-je dans mon pays un politicien de haut strapontin, jouer de la guitare, du saxophone, de la Kora, du piano ou chanter l’hymne national sans en manger une seule strophe, gorge émue et cœur en larmes ?

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Question : « Pourquoi certains hommes politiques, les plus nombreux, ressemblent aux femmes de petites vertus ? »

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« Une femme ? Un homme qui pleure de temps en temps ! »

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Il faut que les lois et règlements fassent foi. Au Sénégal, la libre interprétation des textes a fini par anéantir tout consensus, chacun allant dans le sens de ses propres intérêts politiques. Mille juges, mille sentences. Mille avocats, mille plaidoiries. Un moi-moi indescriptible, nauséabond, maladif, orgueilleux, irrespectueux de soi et des autres, règne ! Il faut vite y mettre fin autour d’une natte de sages, de vertus et d’une corbeille de kolas !

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Si ceux qui font les lois, les défont et les violent. Si ceux qui doivent leur obéir les piétinent, alors cela s’appelle d’un mot : le chaos ! La pagaille devient reine !

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Finissons avec le mercurochrome sur une jambe en bois. Bâtissons des lois et une justice qui nous commandent et qui s’imposent à nous et non des lois et une justice que nous commandons et que nous imposons aux autres. Telle semble être l’inquiétude du plus grand nombre, à tort ou à raison.

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Serait-il libre et permis de rêver voir un jour un Président d’un autre temps du monde, de notre société, qui refusera le cérémonial pompeux des passations de pouvoir, qui habitera chez lui, mettra le palais présidentiel en résidence d’hôtes de marque et de réceptions d’État, qui prendra des vols commerciaux réguliers, au plus en classe Premium, qui aura un cabinet restreint, un gouvernement de 10 ministres dont celui de l’Économie, des Finances et de la Culture, la suppression totale de tous fonds politiques, de toutes voitures de fonction, la redéfinition des « Impôts et Domaines » remplacés par des cabinets d’experts agréés et de notariat certifiés et assermentés. Il s’agit juste de bâtir de « nouveaux pouvoirs », des sortes de ruches sans miel, pour booster l’effort et contrer la paresse, la corruption, le confort facile !

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Si nous laissons faire ce pays sans justice, sans discipline, sans éducation, sans culture, dans refonte de notre système éducatif, sans civilité, sans humanisme, sans respect des uns des autres, sans sanction de la forfaiture, sans limite de l’indécence, sans amour et reconnaissance pour nos parents, sans offre de dignité pour la femme, ce n’est plus un pays qu’il nous faut mais un champ de bataille, ce ne sont plus des prisons qu’il nous faut mais plutôt des asiles psychiatriques ! Ce pays est en train de ressembler à ce que personne d’entre nous n’aurait jamais pu imaginer ! Voilà comment « un pays de pourpre devient un pays de haillons » ! Désigner seul le prince, serait injuste mais il n’en sort pas indemne !

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« … cet inconnu que nous serons à notre mort » quand les siècles passeront. Sauf si nous avons acheté une étoile dans le ciel avec un livre qui jamais ne se refermera, une chanson qui jamais ne se taira, un acte citoyen, une œuvre humaine, un accomplissement politique, qui jamais ne s’oublieront.

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« … il y a plusieurs horloges dans le cœur. Celle « du mal, de la haine et de la jalousie » sont les plus silencieuses. »

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L’humilité « est le plus beau des livres » que l’on puisse lire.

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La fin d’un règne n’est pas forcément « la mort des horloges ». Chaque matin est porteur d’une étoile.

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Un prince qui quitte les lambris, les tapis rouges, le salut des gardes, les cris des foules, est désormais seul comme les larmes d’une fleur que personne ne voit. ni n’entend.

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Senghor me confie lors d’une promenade à Corfou, en Grèce : « On ne gouverne pas impunément. Je n’ai pas tout réussi. Il n’y a que Dieu pour tout réussir. » À ses côtés, hors du pouvoir et de ses contraintes, j’ai découvert, stupéfait et ému, un homme qui avait oublié qu’il avait été un jour président de la République !

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« Le corps est le seul tombeau. Le mort est une enveloppe dont on a enlevé la lettre ».

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Les archives classées secret défense pour 10 ans des princes qui avaient oublié Dieu le temps de leur règne, deviennent accessibles le lendemain de leur départ du pouvoir.

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Les hommes politiques ont deux groupes sanguins : celui des promesses avant le pouvoir et celui des actes posés dans l’exercice du pouvoir.

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Il n’existe pas de loyer plus élevé que celui payé par un prince que le temps a rattrapé.

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Ce que nous ne voyons pas « est plus vrai que nous. »

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Confier votre vie à votre propre mérite et votre propre sueur fait de vous un oiseau de basse-cour. La confier à des décrets fait de vous un oiseau de passage. Vite oublié.

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Les hommes politiques ne disent jamais « adieux », mais toujours « au revoir ».

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Ceux qui ont un avenir dans le passé et une présence de toujours chez les vivants, sont ceux qui ont laissé au présent, dans leur vie comme dans leur mort, des actes et des œuvres inoubliables, fondateurs de nation et de fraternité.

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Les princes qui ne rebroussent jamais chemin, c’est selon, sont enterrés sans coeur au bord des chemins pierreux ou chantés et inscrits à tout jamais dans « la chevauchée des xalam ».

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Combien sont-ils tous ceux qui voyageaient en première classe et qui, couchés au cimetière, sont en économique comme tout le monde, malgré leurs biens laissés sur terre. Dieu Seul sait qui sera en 1ère classe, business classe, économique classe, en soute, dans le train d’atterrissage. Puissions-nous être parmi les bienfaiteurs choisis, les généreux, les humbles, les pieux loin des cruels, des impies, des malsains, des traîtres, des hyènes, des menteurs.

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La religion, c’est aussi de la politique, sauf que dans le premier, Dieu n’est pas monnayable !

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Macky Sall ? Il n’aura rien fait que la pratique politique de par le monde, depuis des siècles, n’aura pas permis de faire ou tenté de faire ! C’est une arène et un espace de pouvoir, de secret, de surprise, de ruse, de stratégie, de combat, de clan, de paris, de domination, de conquête, de trahison, de « meurtre », de fidélité, de sacrifice, de renoncement, de grandeur aussi. A chaque homme politique d’en mesurer les risques. Le travail du Président Sall ne saurait en aucun cas être multiplié par zéro. Attendons. On ne peut pas tourner une page qui n’est pas encore écrite. L’histoire sera juge. Elle nous dépasse toujours et nous devance toujours. Elle ne s’arrête pas à nos émotions et à nos postures partisanes de témoin contemporain. L’histoire nous restitue ce que nous n’avions ni perçu, ni vu, ni compris, ni imaginé. Elle n’oublie rien. Elle rapporte tout. Elle est implacable.

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Le meilleur investissement économique de notre civilisation est l’investissement culturel !

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Certes, mieux que « montrer l’exemple, être l’exemple.»

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Le prince a épuisé son temps d’enthousiasme au pouvoir. Il entame le temps des épreuves et de l’incertitude.

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Un président de la République est condamné d’aller a un combat souvent irréaliste, mais nécessaire pour faire avancer son pays. Aux successeurs de venir avec leur compas, pour savoir eux aussi quelle route prendre. Le social compte, l’éducation et la formation comptent, les infrastructures comptent, l’industrialisation est à amorcer au plus vite. Macky Sall ne peut pas être poussé dans le congélateur. Il est obligé d’être réveillé, pressé, audacieux, imprudent même, visionnaire à hauteur de rêves. Il y a des choses à mettre en place tout de suite. La dynamique des successeurs suivra. Un pays est une dynamique, des promesses, des succès, des échecs.

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« Il est des mamelles que l’on tète pour s’envoler loin dans le ciel et d’autres que l’on tète pour ramper comme un reptile. »

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« La presse c'est la parole à l'état de foudre ; c'est l'électricité sociale. »

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Nous n’avons rien,  rien contre ceux qui veulent porter des guenilles. Mais qu'ils les portent bien !

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« Pardonner aux terroristes dépend de Dieu, mais les envoyer auprès de lui dépend de moi. »  (Poutine)

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L’animal ne sait pas qu’il va mourir, mais la mort le sait.

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La mort est démocratique. Elle abolit les fonctions et les privilèges. Elle supprime les différences morales et sociales.

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Si tu ne sais pas ce que tu vaux, un quidam te vendra au prix qu’il veut !

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Ce que l’honnête labeur te donne est différent de ce que la combine te donne !

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Il existe des êtres que l'on ne peut pas changer. Ils reviennent toujours tel qu'ils étaient. Il ont choisi d'être ce qui convient à ce qu'ils sont profondément à l'intérieur d'eux-mêmes. »

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Notre pays subit une invasion microbienne de politiciens pillards et incultes. Prions pour le repos de leurs excès.

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« Les mérous sont des poissons qui naissent femelles. Au bout de dix jours, ils deviennent mâles.» Qu’Allah soit loué !

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"Mon coeur ne connaît rien qui soit plus cher que « mon pays ». Ma prière pour le Sénégal, son peuple, sa jeunesse, son Président, ses guides religieux, ses savants, ses lettrés, ses artistes et ses créateurs, est que tous ensemble nous soyons nourris au « Nouroul Djamal = la Lumière du Très Beau » !